Comme plusieurs de mes camarades, j’ai commencé dans le conseil, chez KPMG Peat Marwick en industries et services, avant de rejoindre un de mes clients. J’ai ensuite « basculé » dans le secteur bancaire avec toujours la même mission : mettre en œuvre des solutions optimisées de reporting et pilotage, au cœur des problématiques réglementaires pour les banques, au cœur de la transformation informatique de l’ensemble des entreprises. Lorsque j’ai débuté ma carrière, les solutions informatiques devaient être un moyen et non une fin, une aide et non une contrainte. Et pourtant, les solutions phares de l’époque imposaient leurs standards et les consultants étaient forcés de se spécialiser sur un des domaines de la solution. En 2017, au cours d’un projet, j’ai découvert Anaplan, une solution dédiée au pilotage de la performance créée par une start-up anglaise. J’ai été immédiatement séduit : on pouvait (enfin) tout faire avec !

Une formation globale permet de se lancer. On part d’une page blanche et la mise en œuvre est assez rapide : il faut compter en moyenne trois à six mois avec des équipes de deux à trois personnes. Et l’outil permet d’assurer une grande variété de missions : élaboration budgétaire, gestion de trésorerie, pilotage de la masse salariale, supply chain, etc. Il est en plus parfaitement adapté aux établissements financiers comme aux secteurs de l’industrie et des services. Anaplan est fait pour le mode agile : la solution mise en œuvre est unique, personnalisée, avec des calculs en temps réel et accessible immédiate-ment dans le monde entier. Il suffit d’une connexion internet pour l’utiliser, ce qui la rend 100 % compatibles avec le confinement et le télétravail ! Et cette plateforme, qui m’avait tant impressionné en 2017, est aujourd’hui mon principal outil de travail, puisque j’ai rejoint en 2019 la société Nell’Armonia, partenaire de cette solution pour les entreprises.

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