Depuis plusieurs mois, le cœur de l’Algérie bat au rythme du Hirak : ce mouvement de protestations, né en février 2019, demande un changement radical du système de gouvernance et la transition vers un État de droit. L’édification de cet État passe par une révision constitutionnelle pour y consacrer les libertés et la démocratie et prémunir le pays des risques d’autocratie. Dans cette optique et avec l’objectif de mettre à disposition du lecteur le savoir universel en matière de loi suprême, je me suis employé à analyser les dispositions constitutionnelles d’un panel de pays (Algérie, États-Unis d’Amérique, France, Inde, Iran, Turquie) et y rechercher ce qui présente un intérêt pour l’Algérie nouvelle.

C’est cette analyse que je livre dans mon livre Réflexions pour la Constitution algérienne. Cet ouvrage, paru dans la Collection White Sea Business School, écrit de façon romanesque, rapporte ainsi les échanges entre des intellectuels des pays cités, réunis pour l’occasion dans la quiétude de Aîn Sefra, une belle contrée du Sahara algérien. Un livre à la portée d’un clic, chez Amazon.

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