L’art s’inspire toujours de quelque chose. En l’occurrence, c’est un cheval grec ancien et plusieurs bronzes qui ont été mes sources d’inspiration. Nous copions et interprétons à notre façon. D’ailleurs les cubistes, les surréalistes, les contemporains, etc., tous se sont inspirés de l’art africain, voire de l’art pariétal. Les plus grands : Braque, Picasso, Giacometti… ne s’en cachaient pas d’ailleurs. L’art africain fait preuve d’une invention plastique et stylistique incroyable, les œuvres ne sont jamais signées, elles sont plus destinées à la transmission qu’à une valorisation personnelle, même si l’artiste ajoute assez souvent sa petite touche personnelle. J’hésite à signer mon cheval. Mon métier d’agent spécialisé en prévoyance et patrimoine chez AXA me rappelle tous les jours l’importance de la création de valeur et de la transmission, aux côtés d’acteurs économiques, très sensibilisés à ces problématiques.

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