Je voudrais faire part à la fois de mon appréciation positive du nouveau format de la revue et de ma surprise en lisant dans l’édito de Frédéric Jousset l’affirmation selon laquelle « l’entreprise est apatride ». Je pense qu’écrire cela dans l’édito de notre revue peut conduire à des malentendus qui ne serviront pas notre communauté. C’est un propos qui peut choquer, à la fois dans le monde de l’entreprise et à l’extérieur, et qui se situe en contradiction avec les efforts entrepris par notre communauté, Frédéric en tête, pour que les entreprises contribuent à la quête de sens de notre société occidentale, dont l’événement au quai d’Orsay en juin a constitué une illustration particulièrement éloquente. Enfin, à titre personnel, je considère que l’entreprise fait partie intégrante du corps social et ne peut donc pas (ni ne doit) être apatride. Merci de m’avoir lu et n’hésitez pas à partager votre opinion si vous souhaitez approfondir la discussion !

Nicolas Bonleux (H.93)

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