Le nouvel Hôtel de Crillon – Club Luxe et Création
Les nouveaux récits du luxe prennent aujourd’hui des formes ultra personnalisées. Le luxe se raconte à travers les mots de ses ambassadeurs : la singularité d’un talent crée l’expérience inoubliable. Le nouvel Hôtel de Crillon, joyau du groupe Rosewood Hotels & Resorts place de la Concorde à Paris, nous a dévoilé ses coulisses incroyables lors d’une visite-narration réservée à quelques happy few. Une expérience orchestrée par le Club HEC Luxe et Création, imaginée par Bénédicte Cateland et Coralie de Fontenay, avec la complicité d’Estelle Cadoret et la disponibilité précieuse des équipes de Nidal Barret, director of sales. Récit de moments magiques.Place de la Concorde, un soir de juillet. La DS de collection, proposée comme véhicule de courtoisie pour haute occasion à quelque heureux client VIP, trône devant l’entrée de l’Hôtel de Crillon. Le groupe Rosewood Hotels nous ouvre les portes de son nouveau joyau, après quatre ans de travaux. Le nouveau positionnement : faire en sorte que les Parisiens se réapproprient l’adresse. Les cocktails (à la carte ou réalisés sur mesure par la jeune mixologue) sont proposés à 24 € (prix d’appel). Et les événements littéraires, comme business, reprennent.La direction artistique du lieu a été confiée à l’architecte Aline Asmar d’Amman dont la proposition a été de s’entourer de talents éclectiques et internationaux : l’architecte Richard Martinet, les architectes d’intérieur Tristan Auer, Chahan Minassian, Cyril Vergniol, et le regretté Karl. Sans oublier 159 artisans français, détenteurs d’un savoir-faire irremplaçable qui a permis de rendre leurs fastes aux merveilles du palace. Avec un budget « illimité ».Relecture contemporaine et disruptive d’un mythe : l’ultra classique dialogue avec l’ultra contemporain, l’héritage avec la disruption. Le groupe Rosewood Hotels bouscule les codes : les œuvres d’art contemporaines s’invitent dans les couloirs… et les objets chinés aux puces séjournent dans les plus belles suites.Du Bar des Ambassadeurs à la plus belle suite avec vue de Paris, nous passerons de surprise en surprise. Nos yeux caresseront des joyaux précieux. Portes Lalique de l’ascenseur restauré, antique aiguille pour marquer les étages et suivre l’arrivée d’un client VIP. Nous ferons des trouvailles incroyables. Les verres Pomponne à la Marie Antoinette : des coupes à champagne sans pied, évitant à l’époque d’être empoisonné lorsqu’elles seraient posées. Les cuisines du restaurant gastronomique étoilé en six mois, un lieu boudoir de 25 tables seulement.Nos papilles trembleront dans le sillage envoûtant d’une vanille bleue de Tahiti destinée à un baba au rhum à tomber. Et les DS emblématiques de l’hôtel… en chocolat, préparés en cuisine pour chacune des 103 chambres et 44 suites. Dernier étage : La suite Bernstein. Vue à couper le souffle. Terrasse de 112 m2. Paris comme on ne la contemple nulle part ailleurs. Simplement sublime. Décoration signée Chahan Minassian. Majordome particulier. « Prix d’appel » : 20 000 € la nuit.Suite et fin du récit : conversations autour d’une coupe de champagne, dans le salon des Batailles ou sa terrasse, face à la Concorde. On est transportés.Dernier secret : demandez Augustin au Corner Souliers, et suivez ses intarissables récits sur le cuir noir de Russie…
Bénédicte Cateland (H.97)
Published by La rédaction