Le mot de Jean-Pierre Castelain (H.70)
Écrire un ouvrage sur la Ligue hanséatique et les peintres flamands, j’y songeais déjà, j’en rêvais même, lorsque j’étais directeur international pour la partie réassurance du groupe Aon. En tant que responsable, entre autres, des pays de l’Est, je voyageais beau-coup dans le nord de l’Europe, et c’est à Gdansk, en Pologne, que l’idée de cette histoire m’était venue. Mademoiselle Hilde est aujourd’hui le seizième roman que je publie depuis ma retraite, en 2005. C’est en partie grâce à la période de confinement que j’ai pu m’atteler pleinement à ce projet et, selon moi, le résultat est l’un de mes ouvrages les plus aboutis, avec L’Apôtre de la lumière (grand prix littéraire de Chartres, le prix Fulbert) et La Pinasse mauve, mon best-seller sur le bassin d’Arcachon. J’ai pris un immense plaisir à l’écrire et j’ai appris énormément de choses en faisant des recherches pour la rédaction de ce roman. Une retraite d’écrivain est un vrai bonheur, que je recommande vivement !
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